réflexion désabusée du grand écrivain suisse alémanique Max Frisch
Quand on ne souhaite plus être associé à une situation que l’on n’approuve pas, il faut rompre le silence et prendre ses distances.
Chacun se trouve un jour ou l’autre confronté à l’exercice difficile de décider jusqu’où il peut accepter. Dans la vie amoureuse mais aussi dans la vie citoyenne.
Celà peut se traduire de diverses manières : en se désolidarisant par écrit lors des événements de CHARLIE, puis en se déclarant indépendant (cm du 19 décembre) comme je le fis ou comme mon beau-frère Jean-Luc de manière plus forte en démissionnant.
Se taire c’est accepter.